dimanche 26 septembre 2010

UPRIGHT CITIZENS Farewell Ep 88 (Upright citizens)



Le post d'Hervé il y a déjà quelques temps, m'a donné envie de replonger dans l'oeuvre d'Upright citizens et je me suis dit que ce serait pas mal qu'à mon tour, je poste aussi un disque. Bon, on avait déja parlé ici de leur premier Ep Facts and view et pour ce qui est de leurs premiers disques, on peut les trouver un peu partout. Par contre, les derniers, ceux qui commencent à devenir plus pop, sont déjà beaucoup moins disponibles. Autant que je me rabatte sur un disque de cette période, même si c'est pas la meilleure d'Upright citizens, elle est néanmoins pas si pourrie, en tous cas, moi j'aime bien!
Cette période n'a en fin de compte duré que peu de temps, que celui de sortir 2 disques. Farewell est le commencement de cette nouvelle vague. Les musiciens sont nettement moins lookés punk, le guitariste a rasé sa moustache et on sent bien que la trentaine arrive pour eux et que ce qui reste à vivre ne se révèle pas aussi excitant que les 10 années qu'on vient de passer.
Moi je vous propose ça, vous en faites ce que vous voulez. Et si la période pop punk d'Upright citizens ne vous convient pas, vous pourrez toujours au moins lire une interview d'eux qui date de leur période hardcore. Cette interview est tirée de kanaï, un fanzine anarchopunk lyonnais fait par des personnes d'Haine brigade. D'ailleurs ça m'a donné une idée. Je me suis dit dit que ce serait peut être pas mal que je prenne tous les groupes de ce fanzine pour les posts à venir. C'est complètement envisageable. Il y aurait du bon et du moins bon, mais surtout il y aurait de l'excellent. Donc rendez vous pour le prochain post pour un autre groupe interviewé dans Kanaï #6.

UPRIGHT CITIZENS Farewell Ep 88 (3 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert = 33MB)

jeudi 23 septembre 2010

V/A Kloak mix 1 (Spunk)



On a vu une première fois qu'il existait 3 compiles Kloak mix, la troisième étant de loin la mieux de toutes. Mais c'est dommage, la troisième je ne l'ai pas. J'ai que la première et la deuxième. La deuxième on a déjà vu ensemble, c'est plutôt post punk mais je la trouve pas si mal que ça. Tu prends le premier volume, c'est nettement plus hardcore mais c'est nettement plus bancal aussi. Ca fait parti du charme tu me diras des premiers groupes hardcore. Bon ok, je dis bancal mais tous les groupes ne le sont pas. Disons qu'il se dégage un parfum d'amateurisme de tout ça. L'amateurisme, c'est ça aussi qui fait le charme des premiers groupes hardcore me direz vous. Bon, si c'est pour que vous me contredisiez tout le temps, c'est pas la peine que je continue non plus!

V/A Kloak mix 1 Tape 83 (20 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 66,5MB)

lundi 20 septembre 2010

V/A Look at all the children now... Lp90 (Evacuate)



On peut pas dire qu'Antidote vous ait beaucoup stimulé. Je comprends, moi ça m'a fait pareil!
On va rester la même année à New york mais avec des groupes un peu plus crédibles même s'ils ne sont pas des pionniers du NYHC. Ça n'empêche que pour la plupart ce sont devenus de véritables légendes.
On parlait dans les commentaires du split Ep Bad trip/Go! d'une scène new yorkaise un peu plus réfléchie, moins virile, moins beauf. Je sais pas quels termes on avait employé exactement mais je pense que ça définit bien cette scène plus DIY par rapport à celle qui trainait au CBGB. Je dis pas qu'il y avait que des beaufs et des bourrins au CBGB, surtout que j'aie jamais mis les pieds à New york mais je pense que la scène de l'Abc no rio devait être beaucoup plus intéressante. D'ailleurs est ce que c'était vraiment une scène différente de celle du CBGB? Pas vraiment en fait, c'était plutôt une scène qui était issue de celle du CBGB. Il y a un explicatif sur la naissance de cette scène dans l'historique de l'ABC no rio qui est assez intéressant. En même temps je crois que j'étais tombé sur un autre site qui parle de la naissance de la'ABC et c'est à celui là que je pense et non pas à celui de l'ABC. L'article auquel je pense aurait bien illustré aussi ce que je disais dans le post de Raff ou du moins ce que je tentais de dire sans qu'on ramène le débat au niveau politique, même si avoir envie d'une scène moins virile et la faire est malgré tout un acte politique.
Mais on va plutôt parler de la compile. Bon dessus on trouve un certain nombre de groupe dont on a déjà parlé sur Pay no more than comme Bad trip, Go, SFA, Moondog ou Rorschach, puis il y en a d'autres.... Mais je crois que le plus simple ce serait de tout récapituler. Allons y donc:
- Ça commence par Bad trip, groupe que j'affectionne particulièrement. Les 2 morceaux ont été enregistrés entre le ep et l'album. C'étaient des inédits à l'époque de la sortie de la compile mais on en retrouve un ensuite sur le Lp et le 2eme est en bonus sur le cd. Si vous voulez avoir l'intégralité de la période hardcore de Bad trip, direction Blogged and quartered. Et pour les disques qui ont suivit, demandez moi, c'est possible que je poste ça un jour.
- SFA, c'est encore la période avec Mike Bullshit. Le morceau est bien mais ça commence à un peu trop virer métal pour moi. Pareil direction B&Q pour plus de son.
- Moondog, les recordmans du téléchargement sur PNMT (plus de 700). On va pas refaire l'historique, vous le connaissez tous. Ce morceau est le seul que Moondog ait enregistré ou du moins, c'est le seul qui soit sorti sur disque du vivant du groupe, ou peut être que le groupe était déjà mort.
- Go!, 2 morceaux dont une reprise d'OMD. Bon, c'est du Go! et sur Blogged & quartered, toujours plus de Go!.
- Yuppicide, j'ai jamais trop accroché mais il y a des gens qui aiment. Par exemple, il y a Frank de Fist full of credit cards qui aime bien.
- Bustin' out, c'est bien mais totalement inconnu. Le seul autre morceau qu'ils aient sorti est sur la compile Seeing with new eyes.
- Citizen arrest ou le coté crusty du New york hardcore. C'est déjà plus Ted Léo qui chante ici. Ou alors c'est encore lui et peut être que ces 2 morceaux sont extrait de la première démo (cherchez pas, c'est pas lui).
- Bugout society, du hardcore fun à la Murphys law. N'empêche que ces oiseaux là ont quand même sorti 2 lps et qu'on ne parle jamais d'eux.
- World discrimination. J'aime vraiment bien, c'est assez classique et bien mélodique, bien plus subtil qu'il n'y parait. Est ce que c'étaient des skinheads?
- Team effort, encore des inconnus. C'est classique, ça sonne bien viril
- Rorschach, putain le son de gratte! Ça doit faire parti des premiers enregistrements. Ce sont des morceaux qu'on retrouve ensuite sur le premier LP Remain sedate.
- Product 19 est parait il un des groupes à l'origine de la scène de l'ABC no rio. N'empêche qu'ils sont pas rentré dans l'histoire. Ils ont à ma connaissance sorti qu'un seul Ep en raccourcissant leur nom en P19.
-MAS font une reprise d'Iron cross. C'est bizarre de faire une reprise sur une compile je trouve, surtout quand on propose qu'un seul morceau. Bref, on s'en fout MAS ne sont pas rentrés dans l'histoire non plus.
Globalement, cette 2eme face est quand même beaucoup plus insignifiante vous trouvez pas?

Pour terminer, Evacuate n'est pas le label de Sam Mc Pheeters, chanteur de Born against (tiens d'ailleurs, Born against sont les grands absents de cette compile) mais celui de Sam Fisher ou Sam Evac.

V/A Look at all the children now Lp 90 (18 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + livret 16 pages = 89,6)

mercredi 15 septembre 2010

ANTIDOTE Return 2 burn Cd 90 (Metropolis)



Il doit en exister des tas de groupes qui ont des homonynes et vice et versa même oserais je dire! Et c'est pas la banalité du nom qui fera forcément que d'autres groupes s'appelleront comme ça. Tiens si on m'avait dit qu'un jour un groupe lorain s'appellerait Les Zob-sec, j'en aurais avalé mon tube de pastali. Comment imaginer porter un nom pareil? Moi je pensais que seul un obscur groupe montcellien des années 80 était en mesure de le faire. Comment 20 ans après ça a pu traverser l'esprit de jeunes lorains de s'appeler ainsi?
Antidote c'est déja beaucoup compréhensible. J'aurais pu parler aussi de Virus ou Youth brigade mais j'ai choisi Antidote. Antidote dont je connaissais un Ep. Bien sûr pour tout amateur éclairé de hardcore old school, Antidote évoquera plutôt le groupe new yorkais qui a sorti l'excellent ep Thou shalt not kill. Mais j'avais connu avant un Antidote anglais qui pratiquait un anarcho punk, plutôt insignifiant. Non en fait je vous embrouille et j'en perds les pédales, je connaissais déja Antidote le new yorkais quand j'ai découvert le Antidote anglais, enfin je sais pas, c'est loin tout ça.... Disons que quand j'ai acheté ce Cd, j'aurais pu penser tomber sur un troisième Antidote, mais c'était pas le cas, en fait c'était le premier. Et le premier c'était lequel? Voyons vous ne suivez pas, c'était le new yorkais, ce qu'on arrive difficilement à croire quand on regarde les photos du verso. Ce serait même presque dissuasif tellement on dirait un groupe du new jersey! Et pourtant c'est bien le même groupe si on peut dire... Il y a quand même 7 ans qui s'est passé depuis le Ep, ça ressemble même à une reformation et il ne reste plus qu'un seul type d'origine (c'est celui qui est déguisé en vache au premier rang, à ne pas confondre avec celui qui est déguisé en bison au deuxième rang). Est ce que la présence de ce mec justifie que le groupe s'appelle encore comme ça? En même temps je les comprends, tu trouves un nom original, t'as envie de le garder! Pour bien nous prouver que c'est bien le même groupe, ils font même une reprise du Ep. Pas si mal, on s'y croirait...
Je vous parle du seul membre d'origine d'Antidote mais qui sont les autres... Vous pensez que j'ai vraiment envie de savoir? Il se trouve que je sais quand même, du moins pour l'un d'entre eux, le chanteur. C'est celui avec la gueule d'amour sur la photo qui a un jean en lambeau et qui met bien en évidence ses bagues de combat. Et bin lui, avec sa gueule de hardos de boite de nuit, avant il était chanteur dans Mighty CO's et c'était apparemment un des premiers groupes hardcore de Boston. Les autres, je sais pas d'où ils viennent et à vrai dire je m'en fous. Pour une fois si vous le savez, je vous en supplie, ne dites rien!
Sur Flex! ils décrivent ce disque comme un truc dans la lignée de DI/Adolescents, j'irai quand même pas jusque là! Ca s'écoute mais c'est loin d'être mémorable. Alors pourquoi me direz vous j'ai gardé ce disque? Tout simplement parce que c'est le premier CD que j'ai acheté et que j'y suis attaché, c'est con, hein? Et pourquoi je vous le propose aujourd'hui? Si je le savais...

ANTIDOTE Return 2 burn Cd 1990 (8 mp3 en 320kbps + pochette + livret 10 pages = 55, 5MB)

dimanche 12 septembre 2010

DAMAGE ep 86 (Self released)



On va parler d'un cas similaire à celui de Double zeros, enfin similaire pour moi. J'avais entendu parler de Damage de la même façon, c'était un groupe à écouter. Les infos étaient assez floues mais j'avais réussi à savoir qu'ils étaient américains (plus tard j'apprendrai qu'ils étaient New yorkais, qu'il y avait dedans un futur Prong et que je connaissais déjà un morceau sur la compile There is a method to our madness). Quand j'ai réussi à trouver de quoi écouter, je suis tombé sur le finlandais et j'ai pas été déçu. Franchement dans le genre Rattus, moi je trouve que c'est pas ridicule du tout. J'avais même dégotté le Lp Immortal death qui a suivi mais là par contre, ça commençait à tourner un peu trop métal pour moi.
Au cas où vous l'auriez pas compris, le ep que je vous propose aujourd'hui est celui du groupe finlandais. Et au cas où vous l'auriez pas remarqué, je suis dans ma série quiproquo entre divers groupes aux mêmes noms. Il va falloir que j'en trouve un troisième pour faire une vraie série, le problème c'est que je vois pas...

DAMAGE Ep 86 (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 22MB)

mercredi 8 septembre 2010

The DOUBLE "0" ZEROS Be a zeros! Ep 85 (Mountain)



Au risque de passer pour un vieux radoteur, je tiens à dire encore une fois que se procurer des disques dans les années 80 dans un trou paumé tel que celui où j'ai grandi, ou même ne serait ce que ce renseigner sur les groupes, ça tenait à la fois de l'acharnement, de la passion, d'une curiosité insatiable mais surtout de la chance ou de l'opportunité. Il ne suffisait pas de taper un nom sur google, pour tomber sur un article de Pay no more than et apprendre tout ce qu'il y avait à savoir sur un groupe. Vous ne savez pas vous les jeunes, la chance que vous avez de m'avoir.
Le bouche à oreille jouait une place importante. Mais tout dépendait à quelle occasion, on avait entendu ce nom de groupe. Par exemple, je me rappelle d'un pote Ronnie, qui avait ramené une K7 d'une émission de radio qu'il avait enregistré je ne sais où, surement qu'il avait copié mais chez qui? Dessus, on avait découvert Black flag, Circle jerks, SLF et quelques groupes dont j'ai oublié le nom. Parmi ces groupes, il y en avait un que mon pote Ronald aimait particulièrement, c'était Antaraxia... C'était en tous cas ce que lui entendait alors que moi je penchais plus pour Major accident. T'imagines un peu l'accent que devait avoir l'animateur radio pour qu'on puisse diverger à ce point. Avec le temps, je me dis que ce groupe, ça devait être en fait Anorexia, mais je ne le saurai jamais vu que j'ai jamais enregistré la K7 de Ronnie.
Le bouche à oreille constituait une bonne source d'information donc mais encore fallait il rencontrer d'autres punks. Il y a beaucoup de groupes qu'on a découvert en lisant des fanzines, en déchiffrant les noms sur les tshits des groupes qu'on aimait bien, en écoutant des K7 mille fois repompées ... Il y avait aussi quelques noms de groupes qui parvenaient à nos oreilles sans qu'on sache d'où ça venait. Le nom circulait mais pas le son, conférant aux groupes le status de légende. Dans ce cas, je me rappelle de Second wind ou Double zero, ça c'était des groupes qu'il fallait absolument avoir quand on écoutait du hardcore. C'est pour ça que quand j'ai vu ce disque de Double zeros dans la liste d'occases de chez Thrash, je me suis précipité dessus.
Vous vous doutez bien de quelle a été ma déception quand j'ai reçu ce disque avec une bande de travelos en photo sur la pochette. Les travelos, j'associais plutôt ça à la scène glam métal pour laquelle j'avais pas beaucoup d'estime. Au niveau punk, il y avait déjà eu quelques travestis dans les New york dolls par exemple mais c'était un peu trop vieux pour moi et il y avait bien quelques individus dans divers groupes dont on ne pouvait définir le sexe avec précision mais c'était loin d'être fréquent. Donc le concept de glam punk m'était assez étranger!
Et contre toutes attentes, quand j'ai écouté ce disque, ça m'a pas déplu. Au point que plus de 20ans après, je l'ai encore et je vous en parle dans Pay no more than. Il a échappé à toutes les vagues de vente massive, de peu, mais il y a échappé. Toutes les fois, il faisait parti de la sélection, je l'écoutais et ça me plaisait. De là à dire qu'il passe à l'écoute au moins une fois par mois ou même une fois par an, ce serait mentir mais le fait est qu'il est toujours là!
Je me suis un peu renseigné sur le groupe avant de vous en parler. J'ai lu quelques part mais je ne sais plus où que le groupes était du New jersey (qu'est ce que je vous avais dit) et qu'à la suite de ce ep il a pris la direction de la californie en raccourcissant son nom en simple Zeros, enfin Zeros tout court si vous préférez (personne leur a dit qu'il y avait déjà un groupe californien qui s'appellait Zeros? C'est dingue ça!). En rejoignant la côte ouest, ils avaient apparemment l'objectif de surfer sur la vague glam des Mötley crüe, Poison et Cie, et pouvoir vivre de leur musique. J'ai pas l'impression que ça ait vraiment fonctionné. N'empêche que le chanteur Sammy Serious, s'est accroché et a continué malgré tout à sortir des disques. Je pourrais pas vous dire ce que ça donne, je me suis contenté des photos et les vieux glams, c'est comme les vieux punks, ça vieillit mal!

DOUBLE "0" ZEROS Be a zero! Ep 85 (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 29MB)

vendredi 3 septembre 2010

KAMBRONES Ep 83 (Mix)



Je crois qu'il va être temps d'arrêter cette série sur le punk rock français avec le premier Ep de kambrones. Celui ci a déja été proposé sur 7 inch punk mais comme vous le savez tous, le son ne pourra toujours être que meilleur chez moi. Et je vous propose aussi les scanns recto/verso de la pochette. D'ailleurs ce qu'il y a de bizarre sur 7 inch punk, c'est que la photo de présentation, c'est le verso de la pochette, le coté avec les photos et le trou découpé, alors j'aurais tendance à penser que la pochette c'est le coté avec la photo du nain... enfin je veux dire de la personne de petite taille. Il y a pas longtemps, on a eu une discussion sur le politiquement correct et c'est bien comme ça qu'il faut dire quand on est politiquement correct? Pour un nain, on dit une personne de petite taille, non? Mais il y a un truc qui m'intrigue, c'est quand cette personne de petite taille est vraiment de très petite taille, est ce qu'on peut dire un nain de petite taille tout en restant politiquement correct? N'empêche que j'avais entendu dire que ce... cette personne en photo sur la pochette était le manager des Kambrones. Est ce que ça fait parti des légendes urbaines qui entourent le monde du rock'n'roll?
Bon, on va pas passer notre temps à parler de nains non plus et musicalement on avait fait un peu le tour avec le premier Lp. Ce Ep est donc sorti avant et a un coté plus brut, plus punk. La reprise de Trénet est bien dans l'esprit de l'époque à l'instar de la Marseillaise d'Oberkampf, de Lili Marleen de LSD ou du A ça ira des Portes mentaux, un mélange de provocation et d'influences non assumées. Pour les influences, si Oberkampf lisent cela, ils vont être contents!

KAMBRONES Ep 83 (3 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 15MB)

mercredi 1 septembre 2010

SFA New york Ep 88 (Noo yawks rehkids)



Difficile quand on parle de Go de ne pas penser à SFA qui est le groupe de Mike Bullshit avant qu'il ne porte des shorts en jean super sexy. C'est assez incroyable d'ailleurs de le trouver dans un groupe qui visuellement est assez à l'opposé de Go.
Musicalement, on est même pas loin de la Oi, ce qui est pas si mal en fin de compte, parce que la tournure métal que ça a pris après, on peut pas vraiment dire que c'était du meilleur goût. C'est surtout le chant à partir du deuxième album qui devient un peu trop guttural à la limite du parodique (après le départ de Mike BS en fait). Musicalement, c'est juste du mauvais thrash métal.
Sur ce premier ep, on est encore dans le NYHC et ça pourrait être bien, si ce n'est que le son est lamentable. Si on écoute le morceau Gyroscope sur la compile squat or rot, tiré de la même session mais remixé, on se rend compte que c'est un peu du gachis d'avoir sorti le ep avec ce son minable. Il aurait eu le son de la compile, ce serait devenu un putain de classique.
Si vous entravez l'anglais (ce qui n'est pas mon cas...), le mieux pour en apprendre plus, ce serait d'aller sur Punk obituary où le Ep a déja été posté. Les membres du groupe interviennent et parlent de l'enregistrement, de la fabrication DIY de la pochette, n'ont pas l'air d'être spécialement fiers de cet enregistrement (ça se comprend). Enfin tout ça est en anglais et j'ai rien panné!
Sinon pour rester dans le même genre, la démo a été repressé et est disponible sur No punks in K-town.
Un split Ep live existe également. Il a été enregistré lors de leur tournée européenne. Si vous y tenez, un jour je pourrais le poster.

SFA New york Ep 88 (8 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso + sticker = 25MB)

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