samedi 10 décembre 2011

ASSFACTOR 4 Smoked out Ep 94 (Old glory)



Vous avez remarquez depuis un certain temps sur JoliCoeur, je ne propose que des groupes américains. Pourquoi se forcer, après tout si c'est ce dont j'ai envie de parler et je dis pas que je reviendrai pas à des groupes européens. D'ailleurs je voulais vous demander votre avis, pour les fois à venir, qu'est ce qui vous brancherait le plus, une petite série sur des compiles "emo" des années 90 ou une sur les groupes français, voir même sur ceux de Niort de la grande époque?
A vous de voir, en attendant on va s'écouter le deuxième Ep d'Assfactor 4 que je programme aujourd'hui pour faire plaisir à Rog. Enfin c'est pas tout à fait vrai, puisque je lui ai envoyé le lien depuis un moment déjà et que ça me fait tout aussi plaisir qu'à lui, et à vous j'espère.
En fait, pour le premier Ep, je vous avais laissé entendre que la discographie quasi complète était dispo sur Blogged and quartered, mais seulement le lien est mort. Tu me diras, il suffirait peut être de demander à Stormy et il le reuploaderait, mais je me suis dit que ce serait plus sympa de numériser ce disque et de vous proposer les différents liens... Et puis merde, vous n'avez qu'à vous démerder vous même! Si vous voulez la disco, allez voir Stormy et si vous voulez chaque disque séparément, vous avez toutes les clés en main! En effet, c'est plus sympa!
Et n'oubliez pas de me dire ce que vous préfèreriez comme série. Tiens ça me rappelle qu'il y a longtemps, on m'avait demandé une série sur le label Old glory. Le problème, c'est qu'il m'en manque beaucoup... A réfléchir!

ASSFACTOR 4 Smoked out Ep 94 (9 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 28MB)

mercredi 7 décembre 2011

PHOBIA / GRUEL split Lp 87 (Jungle hop)



On devait parler de Gruel, et bien c'est ce qu'on va faire avec ce vieux disque que beaucoup de (vieux) français devraient connaître puisqu'il est sorti sur Jungle hop. Ah ouais, Jungle hop, c'est bizarre ça! Alors que le chanteur de Phobia n'est autre qu'un des tauliers de Neg FX, label du magasin/distro Bunker. C'est vrai que c'est étrange cette histoire... Mais il était étrange ce Gérard M.!
Je suis tombé tout récemment sur un scène report qu'il a fait pour flipside. Il a un regard assez critique sur la scène française et il sait apparemment de quoi il parle. D'après ce que j'ai compris, il serait allé au mythique festival de Mont de marsan, vous savez celui qui a été le détonateur du punk en france (après relecture, il parle de la deuxième édition de ce festival, c'est donc pas le détonateur mais l'explosion du punk en france. Putain, le pétard mouillé!). Ce qui permet à Gérard de démonter ensuite soigneusement toute la scène française, à commencer par les précurseurs, toute cette raïa de poseurs parisiens (je reprends les termes qu'il utilise) que Gérard semblait bien connaître et qu'il conchie (à part quelques uns). Je suppose qu'il a du habiter à Paris...
Ensuite on le retrouve à Grenoble où il monte avec un autre mec (Frédérick quelque chose...) le magasin Bunker. Changement de registre musical, on est plus dans le punk 77 mais dans le hardcore pur et dur. On est même dans ce qui se fait de plus pointu en matière de hardcore dans le monde (en france on en parle même pas!). Les mecs de Bunker monte un label, Neg fx avec lequel ils sortent quelques disques qui ne correspondent pas vraiment aux attentes du public français. Mais ça ne les empêche pas de continuer. Ils organisent sur Grenoble des concerts avec des groupes qu'ailleurs en france, on aura jamais la chance de voir (Negazione, CCM, Peggio punx, DOA...). Gérard fait un fanzine et comme ça ne suffit pas, il monte aussi un groupe. Changement de registre encore une fois. Tout en continuant de fréquenter la scène hardcore, cette fois Gérard fricote sérieusement avec le speed métal. Malgré son parcours assez incroyable, on peut pas dire que ça soit vraiment une réussite. Au point que même lui semble s'en rendre compte puisqu'il sort son disque sur un autre label que le sien.
Ça, c'est méchant, j'étais pas obligé mais faut bien que je parle de Phobia tout de même, et qu'est ce que que je pourrais en dire à part ce qu'il en est? Que le chant de Gérard est limite maitrisé, que ça joue pas super carré, que le son est assez mauvais (pourtant enregistré en Italie), que les compos sont pas très inspiré, qu'à part le batteur le niveau des musiciens n'est pas extraordinaire, et le batteur justement ne fait pas parti de Phobia. Pas con le type, il a juste joué avec eux pour enregistrer ce disque. Et malgré toutes ces années passées, j'arrive pas à trouver quelque chose d'accrocheur à cette face de Phobia.
Tandis que Gruel... Bon on en a déjà un peu parlé puisque les mecs de Gruel, ce sont les mecs d'Xband sans le chanteur. Je suis déjà penché sur ce fait que je trouve un peu douteux. Franchement, vous trouvez pas que c'est la même voix alors que c'est pas sensé être le même chanteur? Il y a du foutage de gueule dans l'air non? A part ça, musicalement, ça n'a rien à voir avec Phobia même s'il y a aussi une influence métal. C'est beaucoup plus mélodique et varié. Je comparerais ça à quelques rares groupes comme Angry red planet ou Rhythm pigs sans le coté funky. C'est sûr, ça peut quelques fois sonner un peu hard rock ou heavy metal, mais je trouve que ça s'intègre complètement, on entend pas le coté moule-burnes/nuque longue/moustache du heavy. A vous d'écouter, moi je suis pas à convaincre. Depuis la sortie de ce disque, je suis fan de la face Gruel. Je suis un peu moins convaincu par l'album qu'a ensuite sorti jungle hop encore une fois. Le coté hard rock est moins prononcé, ça lorgne plus sur le rock simple, c'est plus mélodique mais ça manque un peu de hargne. C'est pas dit que j'en parle pas un jour ici.
Le guitariste est ensuite devenu producteur, sondier, ingéson et a monté un groupe, Sluglord. Les autres ont raccroché les gants.
Et Gérard qu'est ce qu'il est devenu lui? D'après mon indic grenoblois, il se serait mis à le techno à la fin des années 80 (précurseur encore) et aurait revendu tous ses disques. D'aucuns prétendent qu'il continuait à en vendre en tant que salarié chez un gros libraire/disquaire dijonnais. J'en ai jamais eu la confirmation. Enfin saluons le pour son avant-gardisme pas toujours inspiré mais qui nous a bien rendu service. Il faut bien l'avouer, Bunker c'était quand même une distro hors du commun. J'ai retrouvé une liste que je scannerai et que je rajouterai à la fin quand j'aurai le temps. Pour avoir un ordre d'idée, le smic était à 30fr de l'heure à l'époque, ce qui équivaudrait maintenant à 25 euros l'album import US et 8/9 euros le Ep. Putain, on avait les moyens!

PHOBIA / GRUEL split Lp 87 (12 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 71MB)



dimanche 4 décembre 2011

XBAND Pleasures of life Ep 86 (Yomamas)



Ça fait un moment que ce Ep traîne dans mon bac de disques à blogger et j'arrivais pas à en parler ou à trouver le truc qui me donnerait envie d'en parler. Sans doute parce que c'est un disque que j'aime trop! Ne cherchez pas l'ironie dans cette affirmation, non, c'est réellement un disque que j'adore et qui fait parti de mes classiques. Et vous l'aurez sans doute remarqué, pour ce qui est de dire du mal, ça va je me pose là mais pour ce qui est de voir le bon coté des choses, c'est une autre histoire!
En fin de compte j'ai bien fait d'attendre puisque ce ep de Xband va me permettre d'annoncer le prochain post, le split Lp Phobia/Gruel.
Il y a un point que trouve assez douteux par rapport à ce disque de Xband, c'est que le chanteur qui est sensé chanter sur ce Ep a la même voix que le chanteur de Gruel, une voix qui a vraiment un timbre particulier, et Gruel c'est ni plus ni moins que Xband sans le chanteur. C'est clair ou je répète? Ce qui voudrait dire que soit c'est pas le chanteur qui chante sur ce Ep, soit il chante aussi dans Gruel. Ou alors les 2 chanteurs ont la même voix, ce qui me parait hautement improbable. Comment le savoir exactement et c'est pas en cherchant sur internet que je trouverais des réponses étant donné que les seuls articles ( et ) écrits sur Xband parlent d'un groupe "mystérieux" et il y a plus de questions que de réponses (pas tant que ça en fait puisqu'un mec vient de laisser un commentaire et d'après lui, le gars Tommy aurait fait parti d'Hated youth). En fait en parlant de la filiation avec Gruel, j'apporte un point nouveau. Par Belzebuth, vous vous rendez compte? Je contribue à la culture punk internationale (pas tant que ça...). Putain, j'en suis pas peu fier!
Sinon, pour ce qui est du style musical d'Xband, on est déjà dans la deuxième moitié des eighties et la tendance était à la métallisation du punk. Xband n'échappe pas à la règle, sauf que c'est fait avec beaucoup de talent. Ça reste un groupe punk qui laisse ses différentes influences poindre dans sa musique qui n'est pas gâchée par une surproduction (c'est le moins qu'on puisse dire). Et on comprends en écoutant Gruel où le groupe voulait en venir, mais ça on en reparlera la semaine prochaine, ok?

XBAND Pleasures of life Ep 86 (5 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 25 MB)

vendredi 2 décembre 2011

HAL AL SHEDAD / INKWELL Split 7" 95 (Lunchbox)



Il y a longtemps que je ne suis pas allé sur le blog du batteur d'Hal al shedad. Je sais même pas s'il existe encore? Si! Mais il s'y passe plus grand chose. Malgré tout, ne comptez pas sur moi pour que je vous donne le lien. Quel intérêt auriez vous ensuite à venir sur mon blog? Parce que tout ce qui est essentiel en matière d'emo est sur beyond failure. Merde je l'ai dit! De toutes manières, vous le saviez déjà non?
Je tenais quand même à parler de ce disque car on trouve dessus la chanson que tous les groupes screamo auraient voulu écrire. D'ailleurs, tous l'ont écrite, certains même n'ont écrit que celle là et l'ont reproduite à volonté mais jamais avec le talent d'Inkwell. Ah! Ce Messenger d'Inkwell, c'est tout simplement la perfection. C'est beaucoup plus violent que le Ep que j'avais déjà poster mais j'aime tout autant!
Donc c'était simplement pour ce morceau que je voulais vous parler de ce split Ep et d'Inkwell/ Hal al shedad. Ensuite j'arrête, enfin je veux dire, j'arrête de parler d'Inkwell et d'Hal al shedad parce que tout est déjà trouvable sur Beyond failure et avec un bien meilleur son que chez moi. Quel dommage, j'aurais tellement voulu vous parler de tous les disques d'Hal el shedad et puis il me restait d'Inkwell que le premier Ep... Bref, faut bien se faire une raison. Je fais pas le poids, c'est tout!

HAL AL SHEDAD and INKWELL split 7" 95 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 25,5MB)


mercredi 30 novembre 2011

7 INCH BOOTS Tamped concrete Ep 90 (Snoop)



Bon, j'en étais où dans mes séries? Parce que 3 séries simultanées avec en plus les posts de JoliCoeur, ça commence à faire! Si j'avais su je me serais jamais lancé là dedans, mais j'aurais plutôt participé au grand jeu sans frontières des bloggers mangeurs de disques. Il est un peu tard maintenant pour que je m'inscrive et j'ai bien peur quand même que ça demande beaucoup d'investissement. Je me contenterai de suivre ça avec intérêt. C'est fantastique non? Des bloggeurs qui pondent des articles aussi longs et passionnés et qui récoltent une soixantaine de commentaires en une journée. Je dirais pas que je suis jaloux mais épaté, franchement!
Ça résout pas mon problème avec mes séries, c'est au tour de laquelle aujourd'hui? Je serais bien tenté par la NYHC allemande, ça m'arrange au niveau des disques à suivre.
A la fin des années 80, plus ça jouait vite et plus j'aimais! Il y avait Heresy, Infest et Napalm death et puis toute cette clique grind qui a vite pris une couleur trop métal pour moi. Par opposition à toute cette tendance death métal, je me suis plutôt intéressé au NYHC et à des groupes qui n'hésitaient pas à plomber leurs rythmiques pour que ça sonne encore plus méchant. J'étais à la recherche des ses groupes et plus c'était lent et plus ça me plaisait. En découvrant 7 inch boots, j'étais certain d'avoir toucher le fond du lourd, un peu comme avec Napalm death d'avoir atteint le summum du speed. Je pouvais enfin passer à autre chose. Je dis ça et j'ai pas du en acheter beaucoup de ces groupes ultra lourds, ça m'a vite gavé, tout comme comme les groupes grind. J'ai donc pas une connaissance de la chose très développée mais je peux quand même l'affirmer, 7 inch boots, c'est de l'épais, du gluant, du pesant, de l'héritier direct de Black sabbath sans le folklore sataniste grand guignolesque. On aime ou ou aime pas, mais on ne peut qu'admettre que c'est assez particulier. Surtout qu'il y a certains morceaux qui ne dépassent pas la minute. On se demande bien où ils ont voulu en venir. Même encore maintenant, je me pose la question. J'ai longtemps penser que c'était un gag et plus ou moins un side project de Chronical diarrhoea. Il se trouve qu'il y a bien des mecs de Chronical diarrhoea qui jouent dedans, de là à dire que c'est un side project? Quand au fait que ça soit un gag, la pochette peut le faire penser, mais mis à part ça, on est sûr de rien. Surtout qu'un gag, tu le refais pas une deuxième fois sinon c'est plus drôle. C'est pourtant ce qu'ils ont fait en sortant un autre Ep Drei lieder für Bruce Lee que je ne me suis pas donné la peine d'écouter. Alors vous donnerez vous la peine d'écouter celui là?

7INCH BOOTS Tamped concrete Ep 90 (7 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 29,5MB)

dimanche 27 novembre 2011

INFECTED YOUTH /DESTITUTION split Lp 89 (Semantic)



C'est un disque qui m'a été demandé par je ne sais plus qui, il y a quelques temps . J'ai été vraiment surpris de réécouter Infected youth. Pour être franc, ça faisait un moment que le disque était rangé soigneusement au fond de son bac. Je savais même plus si je l'avais encore au moment où on m'en a fait la demande. Et puis en fait c'est vraiment pas mal surtout quand on sait que les morceaux d'Infected youth sont tirés d'une démo datant de 88. C'est assez précurseur pour l'époque et ça joue vraiment bien dans le style HC métal à la française (MST, Smegmatics, Brainwashers....), d'ailleurs ils ont participé à la compile Hardcore évolution avec ces groupes là et d'autres dans le style. Seul point noir, les textes qui sont vraiment à chier! Ça parle de clodos, d'obèses, d'un mec qui se venge de sa meuf qui l'a trompé...
Lisez vous même! De la haute littérature pleine de tolérance!
Dans Destitution, les textes abordent des thèmes assez classique dans le hardcore, si bien que t'as même pas envie de les lire. C'est un peu la caractéristique de Destitution, c'est tellement classique que t'as pas envie d'écouter non plus. J'ai bien du le faire pour numériser le vinyle mais à l'heure où je vous parle, j'ai déjà oublié ce que ça donnait. Allez, j'y jette une oreille.... Ouais, bof.... Voix banal, musique quelconque... Il n'y a qu'une chose à retenir de Destitution, la moustache du bassiste. Je vous ai fait un agrandissement pour que vous puissiez l'apprécier. C'est tout à fait le genre de détail qui me ferait changer d'avis sur un groupe. Tiens je vais retourner les écouter!

INFECTED YOUTH / DESTITUTION split Lp 89 (11 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 71MB)

samedi 26 novembre 2011

GIN MILL Patron Cd 94 (Wreck-age)



Ceci est une requête de Anonyme qui devrait réjouir à la fois les lecteurs de PNMT et ceux de JoliCoeur. Enfin réjouir, c'est peut être un grand mot, mais disons que ça devrait convenir à un certain nombre de lecteur des deux blogs. Ceux qui vont sur les deux blogs sans doute...
C'est pas toujours facile à l'heure actuelle d'être le cul entre deux chaises, à une époque où tout est cloisonné, où tout est tellement codifié. J'en suis la preuve vivante avec mes deux blogs aux styles bien distincts (pas tant que ça). Mais pourquoi j'ai fait ça? Je me serais contenté d'un seul blog comme par exemple le mec de Rocket science qui se permet de parler aussi bien de métal, d'emo, de punk kbd ou de hardcore, aujourd'hui, je vous présenterai ce disque de Gin mill en vous précisant juste que ce sont des anciens Crawlpappy, le batteur et le guitariste, vous savez, celui qui a un bouc... Par Belzebuth, un bouc! On en déduit quoi alors? S'ils sont new yorkais c'est qu'à une époque ou à une autre, ils ont du fricoter avec la scène NYHC. Sauf que déjà avec Crawlpappy, les gaziers avaient sacrément fait évoluer leur hardcore. Ils ont franchi encore un niveau avec Gin mill et ça fricote avec la noise voir l'expérimentale (tout est relatif, pour moi il en faut peu pour que ce soit expérimentale, et ici, c'est l'utilisation d'un trombone qui me fait dire ça). Et il y a toujours ce petit coté rock voir hard rock qu'on trouvait déjà dans Crawlpappy.
Je suis pas sûr que ce je viens d'écrire soit très vendeur auprès des lecteurs des 2 blogs. Le NYHC pour les emokids, ça risque d'être un peu too much, tandis que noise expérimentale pour les hardcoreux purs et durs, ça risque d'être too much itou! Je suis désolé chers lecteurs, je vous dévalorise, je suis persuadé que vous êtes au dessus de ça et que vous êtes nettement moins con que moi. Quelle importance les styles, les étiquettes et notre provenance. Tout ça, ça reste du punk et que ça vienne de New york ou de Vesoul, qu'est ce que ça peut faire?
N'empêche, Gin mill, groupe de New york composé d'ex Crawlpappy et qui a sorti un seul disque sur le très respectable label Wreck-age, ça mérite quand même d'être écouté. Ou pas.... Faites comme vous voulez!

GIN MILL Patron Cd 94 (7 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 60MB)

jeudi 24 novembre 2011

BANDOG Unchain me Ep 92 (Bodonski)



Vous en vouliez du NYHC, vous allez être servi. Vous pensiez pas vous en tirez à si bon compte, non? Maintenant vous allez gouter à du NYHC qui a peut être pas tout les attributs du NYHC mais auquel vaut mieux pas se frotter parce qu'il est foncièrement méchant, le hardcore allemand estampillé New york.
Et oui, pourquoi d'ailleurs l'ai je catalogué NY ce disque s'il remplit pas toutes les conditions qui sont je le rappelle, hardcore gros son teinté de métal, légèrement pesant avec des parties sautillantes, des textes qui parlent de vengeances et d'unités, des choeurs de l'armée pas trop rouge, une absence flagrante de fille, un look de racaille qui se caractérise le plus souvent par le port d'un bouc (à ne pas confondre avec les crusts qui eux sentent le bouc, non je parle de la pilosité qui entoure la bouche mais qui ne recouvre pas les joues, une sorte de moustache améliorée, quoi!). Or, aucun membre de Bandog ne possède de bouc, ce qui ne me permet pas d'affirmer avec certitude qu'ils faisaient du NYHC allemand. Alors pourquoi les ai je labélisé NY? Sans doute parce qu'à l'époque je commandais des disques chez We bite et que c'est comme ça qu'était décrit ce Ep de Bandog, sûrement parce que c'était la tendance du moment et que c'était vendeur. Le fait est que ça se rapproche furieusement du NYHC, mais les puristes ne seront pas d'accord alors je préfère mettre les points sur les i. Et ça sera valable aussi pour les autres disques de NYHC allemand qui suivront.
C'est con, cette étiquette de NYHC est un peu réductrice, surtout avec la description que j'en ai faite. Parce que les textes sont pas si mal, enfin d'après les souvenirs que j'en ai et ma compréhension limitée. Ils sont chantés en anglais avec une grâce toute germanique et sont accompagnés avec une subtilité que ne renierait pas un Raw deal ou un Madball (bien que ça ne ressemble pas vraiment). Mais je préfère de loin Bandog qui a une approche bien plus punk. Et quelle pochette sublime qui rentre dans la catégorie Skulls and balls.
A part ça, Bandog a sorti un 2eme Ep et un album dans la lignée de ce Ep, ce qui veut dire que si vous en voulez plus, c'est possible!

BANDOG Unchain me Ep 92 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 25,5MB)

dimanche 20 novembre 2011

STATE OF CONFUSION A street Lp 88 (Subcore)



C'est pas de ce disque là dont je voulais vous parler aujourd'hui. J'ai merdé dans ma numérisation et j'ai laissé trop de craquements. Il va falloir que je refasse alors que l'article est déjà écrit. Pourquoi donc je l'ai réécouté ce disque?
Mais qu'importe, je vous avais promis ce deuxième album de State of confusion et il était plus que temps que je vous en parle. Pour dire quoi? Maintenant que je vous ai déjà proposé la démo et le premier album, j'ai plus grand chose à raconter. A part des détails. Si j'en crois Discogs, les 2 derniers morceaux dateraient de 86. Est ce que ça devrait dire qu'ils seraient tirés de la première démo? Simple supposition bien sûr puisque la première démo aurait été enregistrée en 85. Bref, on s'en fout! Dans mes souvenirs, cet album était un peu moins bien que le premier, mais pas du tout! C'est dans la continuité. Il y a pas beaucoup d'évolution mais pareil on s'en fout! Et puis moi, j'aime bien le son!
Sinon, comme j'en ai un peu marre de parler de NYHC et que malgré tout j'ai une série sur le feu, je vais l'alterner avec une série sur le hardcore punk des eighties et avec celle déjà entamée sur les splits franco/étranger. Trois séries en même temps, putain ça va saigner!

STATE OF CONFUSION a street Lp 88 (14 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 65,5MB)

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