samedi 28 février 2009
GUS Hetero bas was flipper Ep 94 (Slow to burn)
Vous avez remarquez que tous les groupes de cette série étaient fortement influencés par le punk anglais du début des années 80 ou comme on l'appelle plus communément, le punk's not dead (comment? vous l'appelez pas comme ça? Moi si!). De là à penser que tous les groupes canadiens de cette époque sonnaient punk anglais, il n'y a qu'un pas (de docs coquées naturellement). C'est pas les autres groupes canadiens que j'ai posté qui démentiront ça. A part bien sûr Gus, mais c'est plus la même époque, il y a déja 10 ans d'écart. Ca n'empêche pas que c'est un putain de bon groupe et que c'était plus que temps et l'occasion rêvée de vous proposer un autre disque.
Je pensais avoir tous les disques de GUS mais je me suis rendu compte en faisant ce post qu'il me manquait le tout premier Ep de Gus sorti sur Headrush. Moi qui pensais que leur discographie se résumait à un CD, un split ep avec l'autre GUS et ce Ep. Je pensais d'ailleurs que c'était celui là le 1er Ep. Et musicalement, ça pourrait être plausible, c'est beaucoup plus brut et punk que sur les disques qui ont suivi. Mais non, il y a encore un disque qui précède, qu'il va falloir que je trouve naturellement. C'est une question de vie ou de mort!
Je viens de faire des recherches (Bin oui! Je fais les choses dans l'ordre) et chose incroyable, je viens de retrouver la trace de ce Ep et par la même occasion, d'apprendre que Gus aurait un rapport avec Nomeansno.... Voyons voir... Non! Fausse piste!! C'est juste du à la présence de Ken Jensen dans Red tide dont je vous parlais dans le post de Gus et peut être celui de Red tide.
Tiens Red tide d'ailleurs, c'est bien l'un des seuls groupes canadiens de la première moitié des années 80 dont je vous ai parlé et qui sonne pas spécialement punk anglais. Il doit bien en avoir d'autres, surtout dans les disques que j'aie jamais posté? Genetic control par exemple, ou SNFU ou Negative gain dont j'avais presque envie de poster le skeud, mais j'en avais un peu marre de scanner des pochettes de LPs.
Bon, il va falloir qu'on en sorte quand même de cette série canadienne, vous pensez pas?
GUS Hetero bash was flipper Ep 94 (4mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 28MB)
vendredi 27 février 2009
FAIR WARNING You are the scene Lp 85 (Fair warning)
Et si je vous disais qu'à une époque, j'écoutais de la Oi. Si, si! Je vous assure! Mais j'étais jeune, j'étais en pleine recherche d'identité. Je pensais que c'était important d'en avoir dans le slip ou tout du moins de faire croire qu'on en avait. A défaut d'être viril, j'écoutais des groupes qui eux l'étaient ou qui disaient ou pensaient l'être tout comme moi.
Ces groupes qui trouvaient grâce à mes oreilles étaient Oi polloi , Agnostic front ou Fair warning. Après je me suis rendu compte que ce qui me plaisait dans ces groupes, c'était plus le coté hardcore et qu'il n'y avait pas vraiment d'utilité à vouloir paraitre viril ou méchant, surtout quand on est dans un environnement uniquement masculin. Voir même maintenant, je trouve ça assez pénible comme trait de caractère, mais c'est une autre histoire..
D'ailleurs, quand je regarde l'insert de Fair warning. Je peux pas m'empêcher de les trouver ridicules, habillés en tenu militaire ou en train d'exhiber leurs muscles. Autant la musique, je la trouve toujours aussi géniale, et autant je trouve toujours aussi dérisoire pour pas dire grotesque ce coté "regardez comme je suis un homme". J'éprouve à peu prés le même sentiment pour le Lp de Permanent damage, mais ça c'est une autre histoire....
A ma connaissance et à celle de KFTH et punk history Canada, Fair warning n'aurait sorti qu'un seul album et participé à 2 compiles, Primitive air raid et Apathy never. J'avais lu dans un fanzine que le batteur était mort (mais ça s'avère être faut, voir les commentaires) et que le groupe avait arrêté à la suite de ça. La version que vous trouverez dans le fichier est la seule que j'aie, c'est à dire la version vinyl sorti en 85, mais sachez que ce disque a été réédité en cd avec des bonus. Je ne sais pas sur quel label, ni où le le trouver, mais je vous fais confiance au cas où il vous intéresse.
Bin voila, finalement elle prend tournure cette série canadienne. Je ne sais pas trop encore si elle va durer et qu'est ce qui va suivre, mais ça, c'est une autre histoire...
FAIR WARNING You are the scene Lp 85 (13 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 55MB)
dimanche 22 février 2009
The BILL OF RIGHTS No rights, no chance Ep 84 (No rights)
C'est dingue comme j'ai rien envie de dire en ce moment sur les disques. Ah, les idées de posts ne manquent pas mais pour ce qui est de meubler un peu, c'est le vide total! Je pense que ça doit être le boulot qui me fatigue. Tu vois, rien que la journée d'hier, je l'ai passée à glander, à me reposer. Tu crois peut être que moi qui sors tout juste de l'adolescence et qui suis déja à l'aube de la mort, je vais continuer comme ça, à perdre ma vie à la gagner? Je me demande bien si j'ai le choix...
Et Bill of rights alors? Ce qui me rend ce disque sympathique, c'est que si l'on en croit l'historique de punk history canada, le chanteur était un dément alcoolique qui a finit dans un asile (lui au moins, il l'a pas gaché sa vie à bosser comme un con!). Et puis j'aime bien le coté approximatif, garage de ce 45. C'est super court, le son est pas génial, les mecs sont pas des virtuoses, mais ça le fait, ça donne envie d'être écouté et réécouté.
Je sais pas s'il y avait un insert à l'origine à l'intérieur. Dans le mien, il n'y en a pas et je trouve ça bien dommage!
The BILL OF RIGHTS Ep 84 (3 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 12MB)
samedi 21 février 2009
SUBHUMANS No wishes, no prayers Lp 83 (SST)
Attention, ne pas confondre ce Subhumans là avec le Subhumans anglais. Je dis ça parce que pour moi pendant longtemps c'était un peu confus. C'était au temps où internet n'existait pas et j'avais du mal à imaginer que 2 groupes punk pouvaient porter le même nom. Et en même temps, j'en avais rien à foutre puisque j'aimais aucun des deux. C'était le cas jusqu'à ce que je découvre ce 2eme album des Subhumans canadiens. C'était loin de ressembler au titre que j'avais entendu d'eux sur la compile Let them eat jellybeans, du punk rock que je trouvais plat et sans intêret. Cet Lp m'a reconcilié avec eux et j'écoute même maintenant le 1er Lp Incorrect thoughts avec beaucoup de plaisir. Comble de l'ironie, je crois même que cet Lp m'a permis d'apprécier les Subhumans anglais, comme quoi...
Il faut dire que ce No wishes, no prayers Lp réunit beaucoup de qualités chères à mon coeur de punk rocker. Il y a une rythmique impeccable, les compos sont solides et ne manquent pas de mélodie, les morceaux dépassent jamais les 2 minutes 30, ce qui en fait un album assez court mais ultra efficace. Je ne voudrais pas relancer le débat Flex, mais j'arrive pas à comprendre pourquoi cet Lp y a une si mauvaise note.
Si j'ai bien compris l'histoire de Subhumans, ils auraient enregistré ce second Lp en 82 juste avant se splitter et il serait sorti en 83 à très peu d'exemplaires (1000) vu la notoriété du groupe. Un pirate existerait mais j'ai pas entendu parler d'une réédition officielle à part un cd qui ressemble plus ou moins à un best of.
Si ça vous intéresse, on trouve encore assez facilement sur le net le 1er ep Death to the sickoids, le 2eme Firing squad ou voir une compile regroupant les 1ers Eps.
Si le 6eme morceau vous est familier, c'est que vous connaissez Menace. Moi je connais pas, comme ça...
Pour finir, il ne faut pas que j'oublie de préciser que cette série canadienne a été montée en partenariat avec le blog JoliCoeur, confrère plus que brillant plutôt axé emo et musique qui fait pleurer.
SUBHUMANS No wishes, no prayers Lp 83 (12 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 64MB)
mardi 17 février 2009
DOWN SYNDROME Ep 84 (Black sun)
On y arrive quand même à cette série canadienne, le problème c'est que j'ai tellement attendu que je me demande si c'est encore une bonne idée. On y est, on va continuer.
Si je voulais, je pourrais presque vous faire le même article que pour Final warning, vous savez celui du disque parfait. Il suffirait que je vous dise qu'il y a une belle pochette dépliante, des paroles engagées, que Down syndrome font du hardcore légèrement teinté de metal (plus influencé par Discharge que par Slayer), et pour couronner le tout, que ce Ep aussi est sorti en 84. Bon, sauf qu'eux n'ont rien à voir avec Poison idea et que leur Ep n'a pas été réédité récemment.
Il suffirait que je rajoute qu'ils ont participé à la compile Who' survive. Facile comme post, allez, emballez c'est pesé! Ca m'arrange bien, j'ai pas trop de temps pour le blog en ce moment.
DOWN SYNDROME Ep 84 (6 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 29MB)
samedi 14 février 2009
MOTTEK / RAW POWER split Ep 86 (Starving missile / Toxic shock)
Vous vous attendiez bien sûr à un disque canadien. Depuis le temps que je vous en parle de cette série canadienne. On pourra dire qu'elle a été annoncé. En fait elle n'a été qu'annoncée pour l'instant mais promis, tout de suite après ce disque, je me lance. Mais je me sentais presque obligé de poster ce split Ep Raw power/Mottek puisque c'est une commande. On me demande tellement rarement des trucs que je ne peux que m'empresser d'accéder aux désirs des téméraires qui osent laisser des commentaires.
Lionel me demandait si ce Ep valait le coup. Sincèrement pas vraiment! C'est sûr qu'il a l'air alléchant comme ça mais il n'y a aucun inédit dessus. Lionel me faisait remarquer à juste titre que ce ep n'était disponible sur aucun blog, et pour cause. Disons que tant qu'à faire, autant poster le ep Wop hour de Raw power d'un coté et le Lp Riot de Mottek, puisque tous les titres sont dispos sur ces 2 disques.
Pour Raw power, c'est même assez étrange puisque ça reprend carrément la pochette de Wop hour, le titre, et le contenu, sauf qu'il manque un morceau. Soi dit en passant, ce ep est sorti un label américain Toxic chock, suite à la tournée de Raw power aux états unis et a été enregistré par Paul Mahern des Zero boys.
Le morceau de Mottek quant à lui est tiré de leur second Lp Riot qui est un tantinet plus metal que le premier Lp Hypnose, mais pour moi ça reste un classique.
Quelle est la raison de la sortie de ce disque? J'imagine que les groupes ont du faire une tournée en commun et que ce split ep est sorti à cette occasion. Enfin pour répondre à Lionel, oui ce ep vaut le coup malgré tout. Surtout quand on est fan de hardcore italien.
MOTTEK / RAW POWER split Ep 86 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 15,5MB)
vendredi 13 février 2009
SS 20 Vincent goes to Tchernobyl Ep 86 (Onkra)
Je crois que j'ai un peu abusé avec le post d'avant. Putain! J'espère que vous avez pas lu ça? C'était n'importe quoi! Promis, je vais me calmer. A partir de maintenant, je vais essayer d'être concis, de m'en tenir à l'essentiel, de faire des chroniques purement techniques, genre le groupe s'est formé telle année, a fait tant de disques, tel musicien a joué ensuite dans tel groupe et basta!! Non sérieux, faut que je me calme, du moins pour un temps! Et je commence tout de suite pour terminer ma série française par le 1er ep de SS 20.
SS20 est un groupe de Toulouse qui s'est formé en 82 et qui a sorti ce Ep en 86 (ou 87, mais c'est marqué 86 sur le disque), un 2eme ep Freddy en 88, un split Ep avec le groupe allemand Momido7 en 91 et un Lp, Le meilleur des mondes en 90. Dire que je l'avais cet Lp et que je l'ai revendu, faut être con! J'en ai vendu un paquet de skeuds et pour certains je regrette de l'avoir fait. Houla, doucement JoliCoeur! Tu recommences... Pardon, l'habitude!
Ils ont également participé aux compiles 1984 the third et A bas toutes les armées.
On peut dire qu'ils s'inscrivent bien dans la série sur le punk français entamée avec la compile La voix des gnomes, parce que comme la plupart des groupes de cette compile et ceux des posts qui ont suivi, on sent une grosse influence new wave. A propos de new wave, il y a une page sur SS20 sur French new wave et un vieil article sur le site Death burger, tiré du zine du même nom.
Bon voila, c'est net, précis et sans fioriture! C'est mieux, non?
SS 20 Vincent goes to tchernobyl Ep 86 (3 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert =
jeudi 12 février 2009
LILIPUT Eisiger wind Ep 81 (Rough trade)
J'évoquais dans le post d'avant, ma découverte du punk en 81. Quand j'y repense c'était pas très glorieux! Vous voulez que je vous raconte? Si, j'insiste! J'aime beaucoup me ridiculiser et j'adore parler de moi surtout, c'est mon coté emo!
En 81 donc, on trainait chez un pote, cette vieille pédale de Mat. Ohé, grands prêtres du politiquement correct, je dis ça sans aucune arrière-pensée négative et c'est pour le moins fondé. Que diriez vous d'un mec qui met des pantalons super moulants, bleu électrique à paillettes? Et puis je parle de ce mec par expérience. S'il avait du me filer 10 balles toutes les fois qu'il a proposé de me sucer, j'aurais pu passer une post-adolescence dans un relatif confort financier.
A part le fait d'être un gros fumeur et d'être un peu plus agé que nous, ce type était plutôt sympathique et accueillait chez lui toute une foule de jeunes gens désoeuvrés et si possible du sexe masculin. Ne cherchez pas le mâle là où il n'y en a pas, parce que c'est vrai, on imagine tout de suite le vieux pervers qui s'entoure de jeunes à la sexualité non définis en leur offrant des cadeaux. Non, c'était pas du tout ça, Mat déja, ne nous offrait jamais de cadeaux (c'est ce que lui ai toujours repproché!) et il était à peine plus agé que nous. Il était en fait tout juste assez vieux pour rouler en bécane et pour avoir son apart. Pour résumé,on était une bande de potes et on on squattait chez l'un d'entre nous, voila tout!
C'est chez lui que j'ai rencontré Alain! Mon vieux pote Alain! C'était le genre de grand gaillard un peu taciturne qu'on avait pas envie de faire chier, les cheveux longs, bruns et toujours habillé avec son éternelle veste en velours noir. On faisait là bas ce que faisait n'importe quel ado, on s'emmerdait et on essayait de passer le temps en discutant, fumant et en essayant d'oublier que le soir, le film sur TF1 nous attendait après un repas en famille à mille lieux de l'avenir qu'on s'imaginait (heureusement depuis, la réalité nous a rattrapé).
Ca devait être la deuxième fois qu'on se voyait, on en est venu à parler punk et il m'a demandé, t'aimes bien les Pistols? Je venais d'apprendre 2 choses: que les Sex pistols était un groupe punk et que quand on était branché, on se contentait de dire les Pistols. Tu parles que j'aime bien les Pistols, que je lui ai dit,c'est mortel! JE MENTAIS!! Oui, je peux maintenant vous l'avouer, je n'avais jamais entendu parlé de ce groupe. Le punk, je savais même pas ce que c'était. Il y avait bien ce type que je croisais de temps en temps chez le buraliste et auquel j'associais le mot punk (pourquoi quand je pense au premier punk de Montceau, je le vois chez un buraliste?). Et j'écoutais bien des trucs comme Joe Jackson, Adam and the ants, Clash, sans même savoir que ça pouvait se rapprocher du punk. Mais J'ai menti et je lui ai dit que j'adorais les Pistols. Vous savez ce que c'est quand on a 16ans, on est un peu con! Quoi? Tu as 16 ans? Houps! Excuse moi...
Bref, je l'ai joué finaud et je lui ai demandé qu'il me fasse une K7 que je me suis forcé à écouter et écouter encore sans jamais réussir à apprécier. C'était ça les Pistols? Pas génial en fait! J'aimais mieux les Clash!
J'ai revu Alain le lendemain. Il s'était coupé les cheveux et les avait hérissé. On a commencé à moins trainé chez notre pote parce qu'il en avait un peu marre de tout le temps avoir du monde chez lui et sans doute de trop rarement arriver à ses fins. Et nous, on se sentait moins en phase avec lui parce qu'il était pas "punk". Et on a fait notre bonhomme de chemin, on a commencé à élargir notre culture punk au delà des Pistols et des Clash, on a rencontré des gens qui nous y ont aidé, dont Vincent, le demi-frère d'un pote.
Vincent était lyonnais et passait quelques week-end chez son père à Blanzy, tu parles qu'il devait s'éclater. Il faisait partie de la jeunesse dorée d'une bourgeoisie décadente. Sa famille était propriétaire du Palace, c'est dire! Enfin, le Palace à Montceau les mines, c'était le cinéma porno, mais n'empêche, c'était quand même du pognon tout ça. Donc, il venait chez son père de temps en temps et quand il a croisé Alain avec son look de jeune rebelle, il est allé lui parlé et ils ont sympathisé. On a passé des soirées avec lui à se faire chier, mais au moins on était plusieurs, ça nous aidait à relativiser. Il nous a fait écouté les groupes dans lesquels il jouait. Pour commencer, il y avait les Dead kennedys. On aimait bien les Dead kennedys et quand on a acheté des disques, on a bien vu que le guitariste ne s'appelait pas Vincent. Parmi ses autres groupes, il y avait aussi, Olivensteins (rien que ça), Diskolokaust (quel nom génial!!) et ce groupe dont j'ignorais le nom mais qui était absolument génial. C'était des filles qui chantaient et ça faisait lalalalalalalala. Qu'est ce que j'ai été heureux quand Erich a posté ce Ep de Liliput et que j'ai enfin pu mettre un nom sur ce groupe qui était à la base de ma culture punk. Encore une fois, j'ai été au regret de constater que Vincent ne figurait pas dans les noms des musiciennes. Nous aurait il menti? Mais il reste une chance que ce type ait pu être honnête une fois avec nous. J'ai jamais eu le disque d'Olivensteins entre les mains, qui sait, peut être qu'il jouait vraiment dans ce groupe?
Petit à petit, on s'est beaucoup moins vu avec Vincent. C'est vrai que nous après, on a pris une direction beaucoup plus chaos en france, picole et colle, ce qui devait être un peu trop vulgaire pour lui. Et puis peut être qu'il s'était rendu compte qu'on y croyait plus trop à ses conneries, et que nous des conneries, on avait plus trop envie d'en entendre (par contre, vous, qu'est ce que vous aimez en lire!! Non? Pas grave...). J'ai même entendu dire qu'il était devenu bouddhiste, quelle merde!!!
Reste qu'avec toute ces conneries, je ne vous guère parlé de Liliput. On va faire court.
Peut on considérer que ce groupe continue la série sur le punk français tendance new wave? Sans aucun doute! Et si on vous prétend que Liliput était suisse, n'en croyez pas un mot, je connaissais personnellement le guitariste et il était lyonnais!
LILIPUT Eisiger wind Ep 81 (2 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 13MB)
mercredi 11 février 2009
Plus d'électricité!!!
Le vent a tellement soufflé que j'ai plus d'électricité chez moi. En plus, en ce moment je bosse et j'ai plus trop de temps pour faire grand chose. Ca vous fera des vacances pour un moment.
dimanche 8 février 2009
CERBERE Mangue amère Ep 81 (punk)
En fait j'ai décidé et surtout j'ai trouvé de quoi continuer ma série punk français, avec ce groupe de Nancy qui n'a de punk que le nom du label. Mais avant toute chose, replaçons nous dans le contexte de la france Giscardienne. Le punk rock a du mal à faire sa place et la micro scène arty de 77 a complètement été étouffé par les digressions prétentieuses et élitistes des journaleux de best'n'folk (dans le genre Noise maintenant se démerde pas mal aussi. De toutes façons, à partir du moment que c'est français, c'est nul!). La province n'a même pas le droit de citer à part les groupes hyper connus comme Starshooter. La scène qui fera les heures de gloire de Chaos prod est encore à l'état d'embryon. Et peut-on parler de hardcore en france en 81? Non, s'il vous plait, là bas au fond, ne riez pas!!!
Non, en france en 81, il ne se passe rien et le punk se cherche encore. On est encore en pleine expérimentation, il suffit alors d'avoir les cheveux hérissés, un perfecto et de si dire punk. Peu importe si les synthés ont remplacé les guitares électriques.
Je ne veux absolument pas dire par là que Cerbere était un groupe punk, et tout compte fait, ça n'a pas beaucoup d'importance. Ce que je veux dire, c'est qu'à cette époque, vu la vivacité de la "scène", il n'y avait pas de quoi faire la fine bouche. Et en fait, c'est cette année là que j'ai du m'intéresser au punk, et je crois que j'écoutais pas beaucoup de groupes français. Non, j'allais chercher à l'étranger ce que l'on rarement trouver chez nous. Au risque d'en blesser certains, le punk en france c'est quand même carrément de la merde! Archaïque, rétrograde et creux! Et si certains d'entre vous en doutent encore, je peux rapidement vous monter une série sur le punk français de l'ère Giscardienne pour vous prouver à quel point c'était sans intérêt.
Je parlais de digression tout à l'heure à propos de Best'n'folk, mais j'en fait un beau de digresseur aussi! Et prétentieux, et élitiste, parfaitement!!
Et dans tout ça, j'en oublie de parler de Cerbere. C'est peut être parce que j'ai rien à en dire? Pas grand chose, en fait. C'est loin d'être ma tasse de thé. J'ai jamais été fan de new wave et même si la voix est particulièrement agréable et les textes bien gaulés (j'aime bien le morceau Hommage), j'écouterais pas ça tous les jours! Tu sais à quoi ça me fait penser des fois? A Indochine (Poupée plastique)! Alors pardon, comme groupe de merde français dont on se serait bien passé dans les années 80!!! Années de merde soit dit en passant! Faut arrêter d'être nostalgique de cette décennie maudite qui pour moi est synonyme de mocassins à gland, de pulls à col roulé, de permanente et d'une jeunesse plus plate et creuse que ne l'a jamais été la scène punk française!
Mais pourquoi je suis haineux comme ça aujourd'hui? J'ai pourtant passé une bonne soirée hier. On a joué avec Farewell, c'était plutôt cool et j'ai rencontré en la personne du bassiste, la première personne extérieure à mon cercle d'amis qui va faire un tour de temps en temps sur PNMT. Ca fait plaisir! Tiens, je les salue les gars de Farewell, je leur fais une grosse bise et j'espère les revoir bientôt (à la fin du mois aux tanneries à Dijon, pour ceux que ça intéresse).
CERBERE Ep 81 (3 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso = 22MB)
samedi 7 février 2009
V/A La voix des gnomes Lp 86 (La voix des Gnomes)
J'attaque donc ma fameuse série punk français de un disque avec cette compile Lp qui réunit 4 groupes parisiens plus ou moins connus, plus ou moins intéressants, plus ou moins punk, plus ou moins n'importe quoi comme dans n'importe laquelle compile.
C'est Denis de Killed by video qui m'a donné l'idée de poster ce disque. Il voulait savoir si j'en savais plus sur le groupe Zoi que je connaissais avant tout sur la compile Rapsodie. J'ai ressorti un vieux M-extäz où ils sont interviewés et j'ai dégoté il y a pas longtemps cette compile qui m'intéressait surtout pour Baron rouge.
Baron rouge, j'ai un Lp mais qui est depuis longtemps inécoutable. Disons qu'il a été victime d'un accident de beuverie dans ses jeunes années (les miennes aussi). Pour être exact, c'est même un accident de colle qu'il a subit. Un sac de colle a été posé dessus malencontreusement et ça a complètement bouffé les sillons. Putain! De la bonne colle gachée!! C'était vraiment spécial Baron rouge et le peu de temps que je ai eu ce disque, je m'y étais attaché. Le synthé ne me dérangeait plus, et j'étais même friand de leur punk rock très new wave qui se donnait des allures d'intello. Je l'ai jamais retrouvé depuis, ça doit être rare.
Revenons à cette compile qui a pour nom "la voix des gnomes" et sur laquelle on trouve justement Les Gnomes. Est ce qu'il y a un rapport? Sans doute parce que c'est sorti sur leur label, mais alors si c'est le cas, je trouve la démarche un peu prétentieuse. De toutes façons, j'ai jamais aimé les Gnomes!
A moins que tous les groupes avaient en leurs seins des membres des Gnomes? Voyons voir....
C'est le cas de Baron rouge qui ont le batteur en commun, mais est ce qu'il y avait une fille de Dames dans les Gnomes? J'en sais fitchtre rien!!! En tous cas Dames, c'est ce qu'il y a de plus new wave sur la compile. Ca avait tout l'air d'être un groupe de filles et ça s'écoute plutôt bien.
Reste Zoi dans lequel on trouve effectivement le guitariste des Gnomes. Alors en effet, tous les groupes ont un rapport avec les Gnomes sauf Dames. Mais ça doit être les meufs des Gnomes (je rigole mais je dois pas être loin du vrai). Pour en savoir un peu plus sur Zoi, il y a donc cette interview sur un M-extäz de 86.
Je suis sûr qu'en cherchant bien, j'aurais pu trouver également une interview des Gnomes, mais à vrai dire je m'en fous, j'ai jamais aimé les Gnomes.
Bon maintenant, vais-je continuer ma série française ou j'attaque une série canadienne?
V/A La voix des gnomes Lp86 - Les Gnomes, Dames, Baron rouge, Zoi - (13 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert recto/verso = 72MB
vendredi 6 février 2009
FINAL WARNING Ep 84 (Fatal erection)
En fouinant sur internet, j'ai vu que ce fabuleux ep de Final warning était réédité ainsi qu'un Cd disco sur le label PDX. Ca fait un moment que ce disque traine dans ma liste à poster, il est plus que temps que je vous le propose.
Si vous suivez un peu PNMT, vous aurez compris que ce 45 rentre parfaitement dans les critères qui en font pour moi un disque à avoir. C'est un Ep de la première moitié des 80s, la pochette est noire et blanche, et sincèrement, je la considère comme l'une des plus réussis de ma collection de disque parfait. Elle est sobre certes, mais à mon avis d'une rare efficacité. Les paroles sont à l'intérieur ainsi qu'une photo des gaziers et si la musique est légèrement teinté de métal, on sent que les grosses influences ont quand même été Discharge et Black flag. Ce disque réunit donc plusieurs qualité qui font de lui un disque parfait.
Il y a un autre critère que je n'ai pas abordé la dernière fois et qui peut fortement influencé mon intérêt pour un groupe, c'est le curriculum vitae des membres, passé ou futur, et de ce point de vue là, Final warning possède un atout plus qu'appréciable. Bien sûr, si on se contente de regarder sur Band to band, on est guère impressionné par des groupes tel que Zipgun ou Gruntruck (Si? Ah bon?!!?). Mais si on se penche un peu plus sérieusement sur le cas Final warning (à ne pas confondre avec le groupe New yorkais qui a sorti un mini cd sur Tribal war), on constate que derrière le nom de Charlie Nims se cache Myrtle T., bassiste de Poison idea à partir de Feel the darkness, le chef d'oeuvre du groupe (on peut ne pas être d'accord avec moi, d'autant que je préfère Kings of punk).
Autre lien de parenté avec Poison idea, le label, Fatal erection, qui est celui de Pig champion et sur lequel on trouve également la compile Ep Drinking is great. Final warning y a participé avec un morceau tout aussi convenable que ceux du ep.
Ce qu'il y a d'assez étrange, c'est qu'on est plus près avec Final warning de ce que deviendra par la suite Poison Idea (c'est à dire du hardcore plus mid tempo avec des influences metal et rock) que ce qu'il est à l'époque avec Record collectors.
Le but en disant cela n'est pas de dévaloriser Poison idea mais rendre justice à Final warning. Et que cela ne vous empêche pas d'acheter la réédition ou le cd. Vous saurez toujours où les trouver...
FINAL WARNING Ep 84 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 19MB)
mardi 3 février 2009
HATED YOUTH Hardcore rules Ep 00 (Burrito)
Quand je rippe un disque pour le blog, je le mets sur cd et je me fais de supers compiles, si! Je te jure!. Depuis que j'ai enregistré la compile Florida, j'arrête pas d'écouter ce putain de Cd, et toutes les fois je me prend hardcore rules dans la gueule. Alors, je me suis dis qu'il fallait que je vous parle de ce Ep sorti en 2000 sur Burrito.
En fait, je me demande si c'est réellement une bonne idée, parce que le son n'est pas terrible. Si j'ai bien compris, il viendrait d'une K7 de 83 (la même session que les morceaux de la compile Florida), sur laquelle il manquerait un morceau tellement la bande a mal vieilli. Bon je pense que ça a été travaillé en studio mais toutefois, si vous voulez apprécier Hardcore rules, je vous conseille quand même d'écouter la version de We can't help it if we're from Florida. Bon maintenant, soyons clairs! J'ai recommencé l'enregistrement 3 fois, j'ai nettoyé le disque une fois, et il semblait bien que la mauvaise qualité de son était dû en grosse partie à mes réglages. Le son d'origine est pas top mais reste correct.
Parlons un peu de Hated youth maintenant. Il y a un petit historique dans le disque (le même qu'on trouve dans KFTH) mais il n'y a pas les paroles. C'est bien dommage, ça aurait peut être permit d'évaluer la connerie de certaines chansons comme Ban the bible, à cause de laquelle, ils se sont sentis obligés d'écrire la chanson I don't care if you're gay.
Bref, ça devait pas être si important pour eux s'ils ne se sont pas donner la peine de proposer les paroles dans ce disque.
Par la suite en 84, ils ont enregistré avec un autre chanteur (le bassiste qui est l'auteur de Ban the bible) ce qui devait être un Lp, mais qui n'est sorti qu'en 2002, et en split Lp avec Roach motel, toujours sur Burrito.
Sur cet enregistrement, on les sent très influencés par le 1er Ep de D.R.I., et même si la voix n'est pas aussi excellente et la basse aussi rentre dedans que sur le ep, ça aurait peut être pu devenir un classique, si c'était sorti à l'époque. Je dis ça, ça n'engage que moi!
Je pense que je vous le proposerai quand je remettrai le nez dedans.
HATED YOUTH Hardcore rules Ep (12 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso + insert = 30MB)
dimanche 1 février 2009
NO USE FOR A NAME Let em out! Ep 89 (Slap a ham)
Après cette prestigieuse série sur le punk hardcore allemand, j'avais l'intention de me lancer dans une non moins prestigieuse série sur le punk français. Et Xav de La cantatrice chauve m'a pris de vitesse. Chose incroyable, il a posté 2 des disques que je m'apprêtais à vous proposer, 2 sur les 3 qui allaient faire ma série. Et faire une série de un disque, ça devient tout de suite moins intéressant.
Habituellement, je ne me préoccupe pas de ce qui a déja été posté sur d'autres blogs. C'est sûr c'est plus gratifiant de proposer des disques inédits mais c'est pas mon but de tirer la bourre avec les autres bloggers. Je fais ça avant tout pour me faire plaisir. J'ai envie de parler d'un disque, je le rippe, je scanne, j'écris mon article et en dernier lieu, je fais des recherches. Comme ça, ça évite d'être influencé d'une façon ou d'une autre. Seulement voila, il y a des blogs que je visite régulièrement et forcément si je le fais, c'est qu'on a certains gouts en commun. A un moment ou à autre, on en arrive à vouloir poster les mêmes choses.
Ce qui est arrivé avec Xav est quand même pas banal, mais je m'en remettrai et de toutes façons je posterai ces disques d'ici quelques temps parce que j'ai toujours envie de vous en parler.
Mais en attendant, je suis un peu perturbé! Disons que je suis un peu psychorigide, en général quand je prévois quelque chose, je m'y tiens. C'est pas que je suis un homme de parole, non pas du tout!! C'est que j'ai tendance à toujours changer d'avis et la solution c'est de s'imposer une ligne directrice et de s'y tenir. C'est d'autant plus dur quand on me fait dévier.
Alors du coup, je me suis rabattu sur ce deuxième ep de No use for a name que je gardais sous le coude en cas de panne d'inspiration. Bin oui, c'est toujours plus facile de poster un groupe dont j'ai déja parlé.
Je suis pas vraiment d'accord avec Pierre quand il dit que les eps de NUFAN ne sont quand même pas des chef d'oeuvres. Je dirais pas que c'est ce qu'ils ont fait de mieux, mais pas loin. Avec ces 2 45s, on est vraiment dans le hardcore tendance straight edge, et c'est par ces disques que j'ai découvert le groupe. Pour moi c'est la suite qui m'a pas semblé "logique". Je dis pas que j'aime pas les disques qui ont suivi mais j'en ai pas un seul à part le 1er Lp. J'en ai eu et je les ai revendu, à tord certainement.
Bon parlons technique un peu, c'est le dernier disque sur lequel chante Chris Dodge (le boss de Slap a ham, chanteur de Stikky, Spazz, etc. ). Il a été enregistré fin 88 mais n'est sorti que début 90. Sur le disque, c'est marqué 89. Ma version est rose et c'est le 200eme post. Yahoooo!!!
NO USE FOR A NAME Let em out Ep 89 (4 mp3 en 320kbps + pochette recto/verso/intérieure = 24MB)
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